» Anna, cette asphyxie est dangereuse »

« … oui ça pourrait l’être »

 » Et si je te faisais du mal ? « 

 » Tu ne seras pas réinvitée… si tu ne le fais pas ».

Après un bon dîner et quelques verres, j’ai invité mon nouveau « parfum du mois », Franck, à revenir chez moi puisque c’était notre deuxième rendez-vous. J’avais les intentions les plus sales en tête pour lui et moi.

Franck est l’un de ces gars que l’on ramène chez sa mère. Il est doux et respectueux, plutôt réservé. Tout le contraire de moi. Le genre de gars avec lequel je ne suis JAMAIS sortie auparavant. Ce qui m’a attiré chez lui, c’est son look et son corps de tueur. Il est musclé, mais pas costaud. Des bras toniques, des mains fortes, un ventre serré, avec ce délicieux V qui s’attarde à la taille de son jean.

Franck m’a suivie à l’intérieur et je lui ai proposé de s’asseoir dans le salon, tandis que je nous servais quelques boissons dans la cuisine. « Anna, ta maison est magnifique. J’ai tourné le coin, un verre à la main, et j’ai souri à Franck.  » Merci, c’est confortable, et j’aime ça, ça a l’air beaucoup mieux avec toi ici.  » Nous avons gloussé. Je me suis assise à côté de lui sur la chaise et je lui ai tendu un verre. Il a levé son verre pour porter un toast  » Aux belles maisons et aux belles personnes qui les habitent « .

J’ai souri.

Nous avons bavardé pendant un moment, à propos du travail et de la vie. Puis le silence s’est installé.

 » Tu veux connaître un secret ? a-t-il dit. « Oui, je veux tous les connaître », ai-je répondu.

Il m’a fait signe de me pencher et a levé la main pour me chuchoter à l’oreille :  » Tu es la femme la plus sexy que j’aie jamais vue, et tu me pardonneras de te dire ça, mais la seule chose que j’ai envie de faire, c’est de t’embrasser « .

J’ai souri, en me mordant la lèvre inférieure, tandis qu’il s’asseyait, comme si rien n’avait été dit. Sans parler, je lui ai fait signe du doigt de se pencher pour que je puisse répondre, et j’ai chuchoté :

 » Le baiser ne sera que le début, j’ai l’intention d’explorer chaque centimètre de ton corps dur avec ma langue. » Je me suis éloignée en haussant les sourcils et en buvant une gorgée de mon verre.

Il expira et essaya de rassembler ses idées, quand un large sourire se dessina sur ses lèvres. Je posai mon verre sur la table à côté de nous, et posai à nouveau mes lèvres à côté de son oreille,  » Je n’aime pas les choses gentilles et faciles « 

Il a tourné le cou pour me regarder,  » Qu’est-ce que tu aimes ? « . « Tu verras », dis-je avec un sourire malicieux. « Il faut que tu me fasses confiance.

Je l’ai conduit dans ma chambre. Il a fermé la porte. J’AI POUNCED.

J’étais sur lui instantanément, l’embrassant fort, profondément, passionnément. Mes mains ont couru sur son torse dur, j’ai ouvert sa chemise d’un coup sec, j’ai entendu les boutons claquer quand ils sont tombés sur le sol. Il m’a fait tourner sur moi-même, m’a poussée contre la porte de ma chambre, a tiré ma chemise sur ma tête, a embrassé entre mes seins et a baissé mon soutien-gorge pour qu’il puisse ravir mes mamelons. Sa bouche a recouvert mon aréole et il l’a sucé et mordillé. Il m’a soulevée et j’ai enroulé mes longues jambes autour de lui, croisant mes talons l’un sur l’autre. Franck m’a assise sur le lit, j’ai tendu la main et j’ai commencé à défaire sa ceinture, la faisant passer dans les passants de sa ceinture. Je m’y suis accrochée.

Je me suis agenouillée à côté de mon lit, devant lui, et j’ai commencé à frotter sa bite…. Mon Dieu, il était dur. J’ai levé les yeux vers lui, j’ai pris le bout de la ceinture et j’ai tracé les veines de sa bite. « Je veux que tu me baises, Franck, tu veux ?

 » Mon Dieu, oui », a-t-il répondu. « Je suis le genre de fille qui a besoin d’une attention particulière, tu comprends ? « J’ai souri, tout en le caressant régulièrement. « Oui, Anna

J’ai offert la ceinture. Il l’a regardée avec curiosité.

 » Autour de mon cou « , dis-je en déplaçant mes cheveux sur le côté.

 » Anna, c’est dangereux.

« C’est ce qu’on appelle l’asphyxie érotique, et… oui, ça pourrait l’être ».

 » Et si je te faisais mal ? « 

 » Tu ne seras pas invitée à revenir… si tu ne le fais pas ».

Il a placé sa ceinture autour de mon cou et a fait glisser l’extrémité à travers la boucle. J’ai ouvert la bouche et j’ai pris sa bite jusqu’au bout, laissant ma salive gluante la recouvrir.

Je suis restée face à lui, mes mains sur les siennes, resserrant la ceinture. Il m’a repoussée sur le lit et a arraché ma culotte, frottant sa bite couverte de salive contre les lèvres brillantes de ma chatte.

« Baise-moi », gémis-je… il taquine mon clitoris.

« Je me suis tortillée, tandis qu’il éloignait sa bite et crachait sur ma chatte.

« S’il te plaît, baise-moi ! !! » J’ai crié. Il a fait pénétrer sa bite en moi, et l’a rudement remuée.

« Ohhh, mon dieu, oui ! Tirez fort, tirez fort ! » Il a enroulé la lanière de cuir autour de sa main et a tiré. Il grognait et grondait en frappant ma chatte rose et glissante.

Mon visage est devenu brûlant, mon souffle s’est étouffé, mes yeux se sont mis à pleurer.

Je me suis sentie lâcher prise… euphorie.

Je libérais mon jus sur lui. Ma chatte se resserra autour de sa bite, comme la neuse de plaisir qu’il avait créée pour moi. Sa bite s’est mise à spasmer dans ma chatte inondée, et il a crié alors qu’il éjaculait.

Je pense que je vais inviter Franck à nouveau…

ou je pourrais toujours jouer avec toi… *Agrippe la ceinture*

L’asphyxie érotique, un de mes nombreux kinks.

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